Je suis
parti vivre en Ecosse et j’y ai trouvé un bon travail. Un soir, alors qu’il
faisait noir et que je me promenais près de l’eau, j’ai vu un vieil homme assis
la canne à la main. Je ne le distinguais pas très bien à cause du brouillard.
Il m’interpella (c’était mes premiers en Ecosse, je ne connaissais encore
personne : « Bonsoir, je suis le patriarche du village, vous êtes
nouveau ici n’est ce pas ? Un bon conseil, ne vous aventurez par dans ce
lac, jamais et surtout pas avec un brouillard pareil. »L’homme se leva est
disparut dans le brouillard. Je me suis dit que ça devait être un vieux fou.
Mais cette nuit là, j’ai rêvé, j’ai vu une
forteresse dans le lac et il y’a avait du brouillard. On aurait dit l’antre
d’une âme déchue. Soudainement, une forme bizarre apparut devant moi. On aurait
dit une femme, elle avait un regard vide et avait une drôle de tête. Elle me
regardait et commença avancer vers moi. Les têtes de mort qui la coiffaient
hurlaient de douleur et je me suis réveillé. Est-ce juste un rêve ?...
j’ai entendu un bruit derrière la porte je suis vite allé voir. J’ai vu une
forme inhumaine fuir vers le lac. Je n’ai pas réussi à dormir de la nuit.
Le village vivait un peu comme à ’ancien temps.
Les gens se baladaient à cheval. Je suis allé acheter du pain la boulangère
parlait avec un client devant moi : « déjà un mois que notre
patriarche est mort. Il paraîtrait qu’il se soit aventuré dans le lac et qu’il
n’en est jamais revenu » Il à sûrement du se noyer répondit le
client. « Nous n’avons pas retrouvé son corps et c’est la sixième
disparition inexpliqué de ce genre et cela ce passe à chaque fois qu’il y a du
brouillard. Un homme entre en criant ça s’est reproduit avec le brouillard
d’hier soir quelqu’un à de nouveau disparu et je suis rentré chez moi et si ce
rêve était un avertissement pour dire qu’au prochain brouillard ce sera moi la
victime. Chaque soir je refais le même rêve mais elle se rapproche de plus en
plus je n’ose plus dormir maintenant mais le sommeil l’emporte. Je redoute qu’un
brouillard retombe à nouveaux sur le village et je suis trop curieux pour
partir loin d’ici.
Alors j’ai décidé d’aller voir le lendemain. Je
me suis levé tôt le matin et je suis parti en direction du lac à cette si il y’
avait encore un peu de brume. Quand la brume s’est dissipée remarqué au loin
une forme dans le lac malgré les avertissements du vieil j’ai décidé de m’y
rendre. J’ai pris une vieille barque et je me suis mis ramer plus je
m’approcher de l’endroit plus je voyais de petite bulles sortir de l’eau, et
plus il commence à avoir de poisson mort sur l’eau. J’étais maintenant assez près pour voir à quoi ressembler
l’endroit. On aurait dit une grande forteresse.
Je m’y suis accosté l’eau été brûlante,
tellement brûlante que la barque commençait à fondre. Je ne peux plus partir
d’ici autant que j’affronte mon destin. Cet endroit est triste est sobre, il me
rappelé étrangement celui que j’ai vu en rêve. Je le sais… Je suis condamné je
veux juste connaître la vérité avant de mourir. J’entre dans une grande salle
on aurait dit une salle de réunion des adorateurs de saton et la porte se
referma derrière moi.
Je n’ose plus bougé je suis terrorisé. Les cris
de mon rêve ont recommencé. Je me suis blotti contre un coin les mains contre
le village et je me suis mis à pleurer. Pourquoi suis-je donc venu ici au lieu
de fuir ?!. Les cris ont cessés mais je n’ose toujours pas regarder et je
me suis endormi.
Je
me réveille plus tard. La porte est rouverte je sors vite, il fait nuit et je
n’ai plus de moyen d’embarcation la barque à complètement fondu. Je n’ai plus
de moyen de fuir je m’en veux tellement d’être aussi curieux je le savais un
jour où l’autre la curiosité aura fini par me jouer des tours. J’ai tellement
que je serai près à retourner à la nage mais l’eau me brûlerai. Alors je suis
retourner à contre cœur à l’intérieur si je ne pouvais rien trouver pour
construire un radeau. Je ne veux vraiment pas y retourner mais je n’ai pas trop
le choix. Je suis de nouveau rentrer dans l’antre et j’entend des voix qui
appelle à l’aide. Je monte les escaliers qui se trouvent dans la grande salle
et il y règne une odeur insupportable. J’ai ouvert une porte et j’ai découvert
avec horreur des cadavres,7 pour être exact j’ai cru que mon cœur allé lâché .
les vois recommencent elle me murmure « libère nous de notre sort s’il te
plaît libère nous » j’ai l’impression que mes veines vont éclatés peux m’importe le sort que doivent subir ses
gens ! Je veux sortir vivant d’ici je me moque de leur tourment éternel je
veux rentré chez moi. Mon cœur… mon cœur il n’a jamais battu aussi vite j’ai
l’impression qu’il va lâcher. Je ne veux pas les aider mais ils continuent à
réclamer mon aide. Je ne les aiderai pas ! Un courant d’air ma traverser
le corps. Je sens que je vais sombrer dans la folie. Il y’a un balcon qui donne
sur dehors, je n’en peux plus de cet endroit je ne peux plus le supporter cet
endroit est pire que l’enfer !. Je veux,j e vais sauter. Je sens quelques
chose me soulevé et je me jeté du balcon. Je me sens écraser à terre. Je me
sens bien je n’ai plus peur et je sans doucement mon âme se détacher de mon
corps, je suis mort…
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Count-Olaf